samedi 3 septembre 2011

Le vo !... 3e heure...

Les reflets sont vraiment superbes sur cet appareil !

Voler avec aussi peu de choses à voir autour de soi et en ligne droite, à une altitude où j'ai peu de chances de rencontrer un obstacle, m'a permis de combler mes lacunes concernant l'appareil.


C'est l'heure de ravitailler. L'ordinateur de bord me hurle dans les oreilles que le F16 a faim ! Il me reste environ 1500 livres de carburant, ce qui me donne une heure pour faire le plein, à une vitesse de 250 noeuds. Le C135 est appelé, il ne reste plus que l'avoir en visuel.

Et voici le ravitailleur, un petit point au-dessus de l'horizon à droite.


A 15000 pieds le F16 est bien plus manoeuvrable.

Maintenant, délicatement, se placer dans les six heures de l'appareil, arriver à ses côtés doucement et faire preuve de doigté pour ne pas rater la perche et devoir s'y reprendre plusieurs fois. Pas simple ! Et pourtant c'est plus facile ici que dans la réalité !

J'ai tellement été absorbé par cette étape cruciale que j'ai oublié de prendre une photo. Tant pis, il faut désormais penser à trouver le liner sous lequel je vais me cacher.








Le voilà, trouvé grâce au radar. Il était assez loin, j'ai du consommer plus de carburant que prévu pour le rattraper. J'espère à ce moment-là que cela ne va pas m'handicaper pour le reste de la mission.


Il y a vraiment du monde dans le coin.

Le voici. Je me prends un peu pour le Mirage du début du film.


Il est temps de changer de code transpondeur. L'ATC n'est pas content. Le suivi de vol est bien sûr annulé.

Au revoir !


Bientôt un nouveau cap et la descente vers l'Egypte...

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